July 22, 2016

Batterie Asus A53E

"Avec la Surface Pro, l'objectif était de proposer un produit innovant qui combine le meilleur du PC et le meilleur de la tablette. Avec la Surface Book, la philosophie est de nous positionner sur le très haut de gamme avec 'un deux en un' ultra puissant et innovant, avec processeur Intel de dernière génération, carte graphique dans le clavier...", commente Marc Jalabert, directeur général Grand Public de Microsoft France. "Toutes ses initiatives visent à prendre le leadership face à Apple, tout en démontrant des voies d'innovation à nos partenaires constructeurs. Et c'est bien parti. Pour preuve : c'est bien Apple qui nous copie maintenant avec son iPad Pro."
Un prix d'entrée de 1 649 euros
En fonction des configurations, le Surface Book est tarifé entre 1 649 et 2 919 euros. Pour bénéficier de la carte graphique dGPU, le prix d'entrée s'élève à 2 069 euros. En version Core i7, le Surface Book permet donc, en option, de monter jusqu'à 1 To de stockage SSD. Cette configuration haut de gamme est désormais, aussi, disponible en France (à 3 549 dollars).

Vos propres collègues ont du mal mettre un visage sur votre nom ? Vous passez plus de temps sur le terrain qu’au bureau ? Votre pire ennemie est la panne de batterie ? Vous faites probablement partie des 19 % de maîtres du déplacement.Vos propres collègues ont du mal mettre un visage sur votre nom ? Vous passez plus de temps sur le terrain que dans l’entreprise ? Votre pire ennemie est la panne de batterie ? Vous faites probablement partie des 19 % de maîtres du déplacement.Le coup de fil pro sur le smartphone perso. Les mails du client sur le PC portable de la maison. Le dossier urgent stocké sur un espace familial OneDrive… Les usages professionnels ont changé. Et ils ont changé extrêmement vite. Nouveaux appareils, nouvelles applications et nouveaux réseaux ont transformé les habitudes. Les frontières de l’entreprise sont de plus en plus floues. Qu’il soit à son bureau, en réunion, chez un client ou sur le terrain, en semaine, en week-end ou en vacances, le travailleur d’aujourd’hui peut avancer sur un projet professionnel exactement comme il l’entend.

Chaque employé à aujourd’hui la possibilité de travailler de la manière qui lui convient le mieux. Mais encore faut-il qu’on lui en donne les moyens. Certains préfèrent conserver les habitudes acquises au fil de leurs années d’expérience, d’autres veulent exploiter les dernières innovations technologiques au jour le jour. Quoiqu’il en soit, chacun doit disposer de l’environnement adapté à ses besoins. Pour aider les décideurs à définir le meilleur mix technologique pour leurs collaborateurs, Dell a identifié 4 profils types de travailleurs. Rencontre aujourd’hui avec les maîtres du déplacement.

Experts en assurance, professionnels de santé ou architectes, leur travail les amène en permanence sur le terrain, à la rencontre de leurs patients, pour contrôler l’avancée d’un projet ou pour constater les dégâts causés par des intempéries. Pour ces professionnels, le travail de bureau est minoritaire. Ils comptent donc sur leurs appareils mobiles pour rester productif en toutes circonstances. Le PC portable reste la référence, mais l’hybride séduit également de plus en plus. Plus de 15 % des maîtres du déplacement utilisent aujourd’hui un 2-en-1 comme appareil principal, évitant ainsi de devoir transporter avec eux deux terminaux différents.

Les déplacements permanents génèrent deux impératifs : légèreté et autonomie. Légèreté car il est impensable aujourd’hui pour un professionnel de porter tout au long de a journée un ordinateur de 3 kg. Tout en étant intransigeant sur les performances, le maître du déplacement regardera de très près le poids de son ordinateur, mais également l’équipement intégré. Car ce n’est pas tout d’être léger, l’appareil doit autant que possible éviter au maximum de nécessiter l‘ajout d’accessoires encombrants. L’autonomie est évidemment un autre point crucial dès lors qu’on ne passe pas son temps à proximité d’une prise de courant. Sur ce point, les appareils actuels ont fait d’impressionnants progrès, avec des batteries capables d’offrir une journée complète de travail sans flancher.

Le travail en extérieur implique parfois de s’adapter à des conditions pas toujours confortables. Dans ce cadre, une tablette, plus facile à manipuler qu’un ordinateur, peut s’avérer un bon compagnon de voyage. Équipée d’un système Windows 10, elle offrira toute les fonctionnalités nécessaires au professionnel pour réaliser sa mission. Pour les plus énergivores, il existe des chargeurs de voyages capables d’alimenter plusieurs ordinateurs, tablettes ou smartphones via différents ports. Enfin, les outils de protection font également partie des indispensables pour qui se déplace avec les données de l’entreprise sous le bras. Des solutions de sauvegarde et de récupération doivent impérativement accompagner les maîtres du déplacement pour garantir la sécurité des informations en cas de vol, de panne ou de perte du device.

Experts en assurance, professionnels de santé ou architectes, leur travail les amène en permanence sur le terrain, à la rencontre de leurs patients, pour contrôler l’avancée d’un projet ou pour constater les dégâts causés par des intempéries. Pour ces professionnels, le travail de bureau est minoritaire. Ils comptent donc sur leurs appareils mobiles pour rester productif en toutes circonstances. Le PC portable reste la référence, mais l’hybride séduit également de plus en plus. Plus de 15 % des maîtres du déplacement utilisent aujourd’hui un 2-en-1 comme appareil principal, évitant ainsi de devoir transporter avec eux deux terminaux différents.

Les déplacements permanents génèrent deux impératifs : légèreté et autonomie. Légèreté car il est impensable aujourd’hui pour un professionnel de porter tout au long de a journée un ordinateur de 3 kg. Tout en étant intransigeant sur les performances, le maître du déplacement regardera de très près le poids de son ordinateur, mais également l’équipement intégré. Car ce n’est pas tout d’être léger, l’appareil doit autant que possible éviter au maximum de nécessiter l‘ajout d’accessoires encombrants. L’autonomie est évidemment un autre point crucial dès lors qu’on ne passe pas son temps à proximité d’une prise de courant. Sur ce point, les appareils actuels ont fait d’impressionnants progrès, avec des batteries capables d’offrir une journée complète de travail sans flancher.

Le travail en extérieur implique parfois de s’adapter à des conditions pas toujours confortables. Dans ce cadre, une tablette, plus facile à manipuler qu’un ordinateur, peut s’avérer un bon compagnon de voyage. Équipée d’un système Windows 10, elle offrira toute les fonctionnalités nécessaires au professionnel pour réaliser sa mission. Pour les plus énergivores, il existe des chargeurs de voyages capables d’alimenter plusieurs ordinateurs, tablettes ou smartphones via différents ports. Enfin, les outils de protection font également partie des indispensables pour qui se déplace avec les données de l’entreprise sous le bras. Des solutions de sauvegarde et de récupération doivent impérativement accompagner les maîtres du déplacement pour garantir la sécurité des informations en cas de vol, de panne ou de perte du device.

Répondant aux impératifs de la loi Notre, le SDEE a réuni pour la première fois ce mois de juin, la commission consultative paritaire pour l’énergie, avec la moitié d’élus du syndicat et la moitié des communautés de communes. Une trentaine de personnes ont participé aux travaux. "C’est pour coordonner les politiques d’investissement des projets concernant les énergies renouvelables et la transition énergétique", explique Clio Molines-Chapon du SDEE.
Ont été abordés les projets de bornes de recharge, de l’éclairage public (un dossier déposé au Feder européen pour une centaine de communes et un montant de 930 000 &euro , de la réduction des déchets (avec 50 % de moins de mise en décharge d’ici 2025), du transfert obligatoire aux communautés de communes de l’eau et de l’assainissement d’ici 2020. "On doit voir comment le SDEE peut venir en appui avec son équipe de douze personnes, son matériel et son expérience", conclut l’ingénieure.
Non, ce n'est pas une blague. A partir du 1er avril prochain, le transport en soutes de batteries lithium-ion sera interdit. Cette décision a été prise lundi par l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), en attendant que de nouvelles normes sur leur conditionnement soient adoptées en 2018.

Cependant, cela ne veut pas dire que tout transport d'objets comportant des batteries lithium-ion, présentes notamment dans les ordinateurs portables, les tablettes ou les téléphones, sera interdite. De fait, ces objets pourront être transportés en cabine par les passagers ou l'équipage, a souligné l'agence de l'ONU. L'OACI a expliqué que cette interdiction avait été réclamée par les compagnies aériennes et les associations de pilotes pour des raisons de sécurité. Le 787 « Dreamliner » de Boeing avait connu en janvier 2013 deux cas graves de surchauffe de batteries lithium-ion, survenus d'abord sur un avion à Boston, puis au Japon, contraignant un appareil de la compagnie All Nippon Airways à effectuer un atterrissage d'urgence. Les 50 exemplaires alors en circulation avaient été cloués au sol pendant plus de trois mois.

« Cette interdiction temporaire va être maintenue pendant que le travail se poursuit en parallèle à l'OACI afin d'établir de nouvelles normes sur le conditionnement des batteries au lithium, attendues en 2018 », a déclaré le président du Conseil de l'OACI, Olumuyiwa Benard Aliu. Des incendies impossible à combattre, pour le moment
Il y a deux semaines, c'était l'autorité du transport aérien américaine (FAA) qui avait mis en garde contre les risques d'explosion des batteries au lithium transportées dans les soutes des avions.
Des tests menés par la FAA ont montré que les systèmes anti-incendies installés à bord des avions ne permettent pas d'éteindre un foyer provoqué par l'explosion de ces batteries, qui équipent notamment téléphones et ordinateurs portables.
Non, ce n'est pas une blague. A partir du 1er avril prochain, le transport en soutes de batteries lithium-ion sera interdit. Cette décision a été prise lundi par l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), en attendant que de nouvelles normes sur leur conditionnement soient adoptées en 2018.

Cependant, cela ne veut pas dire que tout transport d'objets comportant des batteries lithium-ion, présentes notamment dans les ordinateurs portables, les tablettes ou les téléphones, sera interdite. De fait, ces objets pourront être transportés en cabine par les passagers ou l'équipage, a souligné l'agence de l'ONU.
Raisons de sécurité
L'OACI a expliqué que cette interdiction avait été réclamée par les compagnies aériennes et les associations de pilotes pour des raisons de sécurité. Le 787 « Dreamliner » de Boeing avait connu en janvier 2013 deux cas graves de surchauffe de batteries lithium-ion, survenus d'abord sur un avion à Boston, puis au Japon, contraignant un appareil de la compagnie All Nippon Airways à effectuer un atterrissage d'urgence. Les 50 exemplaires alors en circulation avaient été cloués au sol pendant plus de trois mois.

Posted by: dovendosi at 12:15 AM | No Comments | Add Comment
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