November 24, 2016

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Les ministres du Royaume-Uni n'ont plus le droit de porter d'Apple Watch pendant le conseil des ministres, rapporte le Daily Telegraph. En cause ? Des peurs de hacking, et plus précisément d'espionnage de la Russie. Les téléphones portables y étaient déjà interdits pour la même raison. Les russes essayent de tout hacker, rapporte une source du quotidien britannique. Certains ministres sont en effet friands du gadget d'Apple. Michael Gove, ministre de l'Éducation puis de la Justice sous David Cameron, avait même accidentellement dérangé une réunion en jouant une chanson de Beyoncé ; il essayait de lire ses mails discrètement mais avait appuyé sur le mauvais bouton. Dans son édition du mardi 11 octobre, le journal Le Parisien révèle comment s'est formé le commando de femmes arrêté le 8 septembre dans un appartement de la Grange-aux-Belles, à Boussy-Saint-Antoine. Les trois femmes de 19, 23 et 39 ans, soupçonnées d’avoir projeté un attentat, se sont rencontrées sur les recommandations du propagandiste de l'Etat islamique Rachid Kassim.

Sarah Hervouët, femme de ménage dans un hôpital psychiatrique de Cogolin (Var), a donc contacté Inès Madani, originaire de Tremblay-en-France (Seine-Saint- Denis) et la logeuse de l’équipe, Amel Sakaou, 39 ans, ancienne responsable de la sécurité dans un centre commercial proche de la Grange-aux-Belles.Peu de temps avant son interpellation, Sarah Hervouët devait attaquer le maire de Cogolin (Var), pour toucher en plein cÅ“ur le gouvernement français, raconte le quotidien. Rachid Kassim lui a également suggéré d’acheter un pistolet en plastique et des pétards pour semer la panique dans un lieu public. Sarah étant nerveuse à l'idée d'opérer dans la commune où elle réside, son mentor l’invite alors à rejoindre Paris le 7 septembre pour rencontrer Inès et Amel, qui prévoient aussi de commettre une attaque. Depuis le 4 septembre, Inès est déjà activement recherchée pour avoir participé à un projet d’attentat à la voiture piégée près de Notre-Dame, à Paris.

La géolocalisation du téléphone portable de la jeune fille de 19 ans permettra aux enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) d'arrêter les trois femmes, alors qu’Inès et Amel prévoyaient d'attaquer une synagogue.
Atlantico : Deux écoutants de l'association locale Allo, Parlons d'Enfants répondent désormais tous les jours aux appels de parents en détresse. Comment expliquer une telle initiative ? Les parents d'aujourd'hui sont-ils plus inquiets que les parents de la génération précédente ? Frédéric Kochman : Cette initiative ne m'étonne pas du tout et répond à un vrai besoin d'écoute des parents d'aujourd'hui, qui sont beaucoup plus inquiets que les parents des deux générations précédentes. Je vois tous les jours en consultation des parents complètement désemparés, qui me posent des questions éducatives de base qui ne seraient jamais arrivées jusqu'au médecin il y a une quinzaine d'années.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette détresse parentale.Tout d'abord, entre les émissions de télévision comme Super Nanny ou Pascal, le Grand Frère, qui prônent le retour d'une éducation stricte, voire musclée, et le gouvernement qui interdit de donner des fessées aux enfants, le tout mélangé avec les multiples livres et sites internet qui sortent depuis quelques années sur la question, les parents sont noyés sous une quantité d'informations, toutes contradictoires.Ensuite, je pense que l'inconscient collectif de la société française pousse les parents à élever des enfants roi, pour qu'ils deviennent de parfaits consommateurs, incapables de résister à leur pulsion, d'attendre et de supporter la frustration. Encore dernièrement, je discutais avec un vendeur de VTT dernier cri, qui m'expliquait que les parents, pour être surs que leurs enfants aient le plus vite possible le tout nouveau modèle de vélo qui sort, passent des pré-commandes, qui ne cessent d'augmenter. Cette démarche se décline sur tous les produits de consommation à la mode, et ce quelqu’en soit le prix, de l'Iphone 7 au cartable Violetta.

Enfin, les principes éducatifs sont forcément perturbés par la décomposition, la re-composition, voire la re-décomposition des structures familiales. Aujourd'hui, sur une classe de primaire, 80% des élèves sont issus de familles recomposées.Quels sont les principaux sujets d'inquiétude des parents d'aujourd'hui ?
Les parents que je reçois sont extrêmement préoccupés par le rapport de leurs enfants aux écrans. Ils constatent que leur progéniture est complètement dépendante des tablettes, des jeux vidéo, de la télévision et des téléphones, faisant de violentes crises de nerfs quand on leur retire, et ne savent pas comment réagir, surtout que le problème apparaît de plus en plus tôt.Le deuxième grand sujet d'inquiétude des parents est le harcèlement scolaire, qui est de plus en plus violent et qui commence de plus en plus jeune, parfois dès la maternelle.

Quels sont les mécanismes à l'oeuvre dans les principales situations de conflit ou de crise entre parents et enfants ?
Le principal mécanisme qui engendre des générations d'enfants roi est la disparition de la notion de verticalité au sein des familles. Les parents d'aujourd'hui éduquent leurs enfants de manière horizontale, c'est-à-dire qu'ils se mettent au même niveau qu'eux, comme s'il s'agissait de leurs copains ou de leurs colocataires de Secret Story 11. Tout devient alors sujet à négociation. J'ai encore reçu ce matin un enfant qui ne voulait plus manger que des pizzas, matin, midi et soir, et ses parents qui me demandaient, désespérés : mais qu'est-ce qu'on doit faire docteur ?.Cette disparition de la notion de verticalité est très préjudiciable pour les parents, qui deviennent de véritables esclaves de leurs enfants, cherchant à éviter les crises à tout prix. C'est également très préjudiciable pour les enfants, car un enfant roi est fondamentalement un enfant très angoissé. Dernièrement, j'ai reçu un enfant de 5 ans qui m'a très bien formulé l'origine de son inquiétude. Il m'a dit : mais si mes parents me laissent prendre toutes les décisions, qui va m'aider si je rencontre un problème ?.

En outre, on peut remarquer que la disparition de la notion de verticalité dans l'éducation des enfants depuis le début du millénaire se répercute dans toutes les sphères de la société. Cela donne par exemple des jeunes de la fameuse génération Z qui, alors qu'ils viennent juste de se faire embaucher, manquent de respect à leur patron en leur parlant n'importe comment ou en refusant de respecter les règles de l'entreprise, et ne comprennent pas pourquoi ils sont virés.Comment rassurer et aider cette génération de parents angoissés ?
En rétablissant cette notion de verticalité au sein de la structure familiale. C'est-à-dire faire comprendre à l'enfant qu'il doit obéir à une autorité bienveillante (à ne pas confondre avec l’autoritarisme) qui vient de personnes plus hautes que lui dans la pyramide des âges.C'est, par exemple, donner des cadres en fixant des heures de coucher, de lever, des partages de repas, punir si nécessaire sans se poser mille questions avant d'agir, expliquer qu'on ne peut pas tout avoir tout de suite, inculquer le respect des grands-parents ou encore parler de son supérieur hiérarchique et du professeur avec respect même quand on est à la maison, bref, apprendre à s'écouter et à revenir à des principes éducatifs instinctifs, qui régissent les familles de toutes origines depuis des millénaires.

Il ne s'agit bien sûr pas de revenir en arrière et aux coups de règles, mais plutôt de revisiter les principes éducatifs d’antan en les adaptant aux enjeux de la société actuelle. On peut comparer cela à de la cuisine. Les grands chefs d'aujourd'hui n'inventent plus de recettes, car toutes les bases de la cuisine française sont déjà posées, ils les revisitent.
Risquons la question qui dérange : Alain Juppé incarnerait-il depuis Bordeaux une sorte de nouveau Pétain à qui une nation en désarroi demande inconsciemment de composer avec le dernier envahisseur en date ?L’institution d’un islam de France dont rêve Alain Juppé serait l’une des clés de l’identité heureuse qu’il appelle de ses voeux. Pour la bonne cause, suggère-t-il, les musulmans devraient répondre à des questions semblables à celles qui furent posées par Napoléon aux juifs en 1806. Le moment est venu d’apporter des réponses précises aux questions que se posent beaucoup de Français. Nous l’avons fait avec les Juifs au début du XIXe siècle à l’initiative de Napoléon… Nous devons le faire aujourd’hui avec les Français musulmans.

Posted by: dovendosi at 05:46 AM | No Comments | Add Comment
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