November 23, 2016

Batterie Asus ux31 ultrabook

Toutefois, les deux partis se livrent aujourd’hui aussi à une guerre de l’information qui laisse sceptique tout observateur qui ne bénéficie pas de sources fiables sur place. La méfiance vis-à-vis de la désinformation doit donc rester la règle.Dans le cas où les Russes abattraient véritablement des avions américains sur le théâtre syrien, quelle serait la réponse américaine (et occidentale plus largement) la plus probable ? Jusqu'où cela pourrait-il conduire ? Pour abattre un avion américain, encore faudrait-il qu’il y en ait un qui ait l’idée saugrenue de voler dans des zones couvertes par la DCA russe. J’ai assez d’expérience pour savoir que certains pilotes américains enivrés par Top Gun se sont livrés dans le passé à des initiatives malheureuses comme le 14 avril 1994 quand deux hélicoptères Blackhawk furent abattus par deux F-15 au dessus de l’Irak du Nord lors de l’opération Provide Confort. A cette occasion, 26 personnes furent tuées dont un officier français.

Sincèrement, je ne pense pas que des responsables au Pentagone ou à la Maison Blanche ne se risquent à ce coup de poker, du moins avec l’administration actuellement en place. Si Hillary Clinton parvient au pouvoir, et cela semble très bien parti pour elle, j’ai plus de doutes tant son hostilité vis-à-vis de Moscou est proclamée en permanence. Peut-être qu’une fois aux manettes, elle se calmera un peu.Si d’aventure un appareil américain était abattu, nous ne serions pas à l’abri d’un dérapage incontrôlé. Mais comme je le disais plus avant, je ne crois pas trop à cette possibilité d’autant que le commandement US est en liaison constante avec son homologue russe pour éviter tout incident aux conséquences incalculables. Cela dit, le président Poutine a démontré qu’il savait garder son calme, même dans des périodes dramatiques. Lorsqu’un de ses bombardiers Su-24 a été abattus le 24 novembre 2015 lors d’une véritable « embuscade aérienne » montée par l’aviation turque, il n’a pas déclenché l’apocalypse. Comme par hasard, un hélicoptère turc AH-1W Super Cobra a été abattu à son tour le 13 mai 2016 dans la région de Çukurca (sud-est du pays) par un activiste du PKK armé d’un missile sol-air russe 9K38 Igla jamais vu aux mains des rebelles kurdes auparavant (1). Les deux membres d’équipage ont trouvé la mort lors de ce dramatique incident. L’affaire a été filmée et largement diffusée comme l’avait été la chute du Su-24 russe. Un retour à l'envoyeur ? Voilà encore un cas d’utilisation des medias pour faire passer des messages…

De là à dire que la Troisième Guerre mondiale a débuté, il y a encore une grande marge. Nous n’en sommes encore qu’au niveau des rodomontades de part et d’autre et tout le monde sait que le président Obama est bridé par la prochaine élection même s’il voudrait bien terminer son mandat par un coup d’éclat fumant, si l’on peut dire. Il l’a bien commencé en recevant en 2009 le prix Nobel de la Paix. A sa décharge, les "casques blancs" étaient pressentis pour même prix cette année. Un examen plus approfondi de cette organisation caritative a dû laisser supposer que certains de ses membres dépendaient plus ou moins directement d’Al-Qaida "canal historique" et qu’avant de secourir de malheureuses victimes des bombardements devant des caméras habilement positionnées, quelques uns maniaient plutôt la kalachnikov !Toutefois, les deux partis se livrent aujourd’hui aussi à une guerre de l’information qui laisse sceptique tout observateur qui ne bénéficie pas de sources fiables sur place. La méfiance vis-à-vis de la désinformation doit donc rester la règle.

Dans le cas où les Russes abattraient véritablement des avions américains sur le théâtre syrien, quelle serait la réponse américaine (et occidentale plus largement) la plus probable ? Jusqu'où cela pourrait-il conduire ? Pour abattre un avion américain, encore faudrait-il qu’il y en ait un qui ait l’idée saugrenue de voler dans des zones couvertes par la DCA russe. J’ai assez d’expérience pour savoir que certains pilotes américains enivrés par Top Gun se sont livrés dans le passé à des initiatives malheureuses comme le 14 avril 1994 quand deux hélicoptères Blackhawk furent abattus par deux F-15 au dessus de l’Irak du Nord lors de l’opération Provide Confort. A cette occasion, 26 personnes furent tuées dont un officier français.

Sincèrement, je ne pense pas que des responsables au Pentagone ou à la Maison Blanche ne se risquent à ce coup de poker, du moins avec l’administration actuellement en place. Si Hillary Clinton parvient au pouvoir, et cela semble très bien parti pour elle, j’ai plus de doutes tant son hostilité vis-à-vis de Moscou est proclamée en permanence. Peut-être qu’une fois aux manettes, elle se calmera un peu.Si d’aventure un appareil américain était abattu, nous ne serions pas à l’abri d’un dérapage incontrôlé. Mais comme je le disais plus avant, je ne crois pas trop à cette possibilité d’autant que le commandement US est en liaison constante avec son homologue russe pour éviter tout incident aux conséquences incalculables. Cela dit, le président Poutine a démontré qu’il savait garder son calme, même dans des périodes dramatiques. Lorsqu’un de ses bombardiers Su-24 a été abattus le 24 novembre 2015 lors d’une véritable « embuscade aérienne » montée par l’aviation turque, il n’a pas déclenché l’apocalypse. Comme par hasard, un hélicoptère turc AH-1W Super Cobra a été abattu à son tour le 13 mai 2016 dans la région de Çukurca (sud-est du pays) par un activiste du PKK armé d’un missile sol-air russe 9K38 Igla jamais vu aux mains des rebelles kurdes auparavant (1). Les deux membres d’équipage ont trouvé la mort lors de ce dramatique incident. L’affaire a été filmée et largement diffusée comme l’avait été la chute du Su-24 russe. Un retour à l'envoyeur ? Voilà encore un cas d’utilisation des medias pour faire passer des messages…

Depuis la rupture des négociations entre Washington et Moscou sur le dossier syrien le 3 octobre dernier, la télévision russe explique à la population qu'un conflit international est inévitable, et que la 3ème Guerre mondiale aurait même déjà commencé. Sur la première chaîne d’Etat, le présentateur d'une célèbre émission du dimanche soir annonce que les batteries antiaériennes russes en Syrie vont "abattre" les avions de chasse américains, et sur la chaîne d’informations en continu Rossia 24, un reportage expose la préparation des abris antinucléaires à Moscou, rapporte ce jeudi le site de Libération. "Je rappelle aux 'stratèges' américains que les missiles antiaériens S-300 et S-400 qui assurent la couverture aérienne des bases russes de Hmeimim et de Tartous ont un rayon d’action qui pourraient bien surprendre n’importe quel aéronef non identifié", avait prévenu le porte-parole de l’armée russe, le général Igor Konachenkov, le 6 octobre dernier.

"Le plan B, c’est en gros que les États-Unis vont avoir un recours direct à la force contre les forces syriennes du président Bachar al-Assad et contre l’aviation russe", avait-il également déclaré. Atlantico : Les résultats d'un récent rapport de l'OCDE (voir ici) démontre que les élèves utilisant très souvent les ordinateurs à l’école obtiennent des résultats bien inférieurs que les autres, même après contrôle de leurs caractéristiques socio-démographiques. Comment expliquer ces résultats ? Faut-il selon vous souhaiter le retour d'une école sans écrans, contrairement à ce que vise le "plan école numérique" du gouvernement ?
Karine Mauvilly : Ce résultat de l'enquête Pisa 2012, qui a été réétudié en 2015 sous l'angle de la numérisation des systèmes scolaires, a été peu commenté et peu pris en compte par les pouvoirs publics. On découvre pourtant une corrélation négative entre la numérisation de l'école et la performance des élèves : plus les élèves travaillent sur écran, moins ils comprennent ce qui est écrit dessus.

Dans le match France/Etats-Unis, les élèves français sont mieux classés en mathématiques (et ex-æquo en compréhension de l’écrit) alors que le système scolaire français est beaucoup moins numérisé ; quant à la Corée du Sud, peu numérisée, elle est toujours classée dans le trio de tête…Pour comprendre ce résultat, nous avons consulté de nombreuses études scientifiques, en particulier américaines. Il apparaît par exemple qu’une bonne mémorisation des connaissances est étroitement liée à la prise de notes à la main, car on reformule davantage les mots du professeur en écrivant à la main. Autre exemple : le numérique est souvent associé à une pédagogie active. Or nous confondons les mouvements qui se font sur un écran et l'activité de l'élève. Un élève actif est un élève qui produit (un écrit, un dessin, un texte à l’oral), et pour cela, il n'a pas besoin d'un support numérique. Dès les années 1920, la pédagogie Freinet mettait les élèves en activité en leur proposant de réaliser un journal de l'école ou une correspondance scolaire. La mise en activité de l'élève, aujourd’hui vivement conseillée aux enseignants, n'a nullement besoin de béquilles numériques.

Posted by: dovendosi at 07:40 AM | No Comments | Add Comment
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