September 27, 2016

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Drôle d’idée que celle des ingénieurs de Samsung, qui ont imaginé avec le Galaxy View une tablette dont l’écran atteint une diagonale de 47 centimètres – soit presque la taille d’un écran de téléviseur. Le groupe coréen s’est pourtant lancé le défi de commercialiser le premier téléviseur « portable », avec l’espoir de séduire – notamment – les gros consommateurs de médias.A mi-chemin entre la tablette et la Smart TV, le Galaxy View est un produit plutôt atypique. Son écran de 18,4 pouces (soit près 47 centimètres) en fait l’accessoire idéal pour visionner films, séries et vidéos, dans des conditions optimales. Paradoxalement, les cinéphiles fuiront cet accessoire comme la peste. Il faut dire que son écran Full HD (1920×1080) n’offre pas un rendu optimal à l’heure des écrans 2K et 4K, et surtout que la partie audio a été complètement bâclée, avec des haut-parleurs qui ont tendance à étouffer le son. Ces deux très gros défauts ne sont pas anodins. En effet, un écran 4K portable aurait été vendu à un tarif beaucoup plus élevé, et amenuisé les chances de réussite de Samsung sur ce marché. Car en réalité, ce ne sont pas les cinéphiles que Samsung vise avec cette tablette mais bien le grand public et plus particulièrement les gros consommateurs de médias, qui ont résigné depuis des années leur abonnement à la télévision numérique et enchaînent les saisons de Breaking Bad à une vitesse impressionnante sur Netflix.

Mais quel intérêt pourrait-on bien trouver à remplacer son téléviseur par un écran tel que celui-ci, aux performances somme toute très moyennes, et surtout loin d’être aussi nomade qu’on pourrait le penser (essayer de le « glisser » dans votre sac !) ? La réponse est simple : Avec le Galaxy View, Samsung propose un produit qui s’adapte facilement aux besoins des personnes qui n’ont pas forcément les moyens d’acheter une Smart TV et une tablette, ou dont la situation est suffisamment précaire pour justifier l’investissement dans un écran qui les accompagnera facilement dans un déménagement, un kot ou lors d’un road-trip. Pas question de remplacer complètement un téléviseur puisque le Galaxy View ne dispose ni de port HDMI ni de port Ethernet. Vous ne pourrez pas y brancher votre console ni votre vidéoprojecteur. En revanche, le Galaxy View est l’accessoire idéal pour visionner rapidement un épisode d’How I met your mother en déjeunant, organiser une soirée cinéma entre amis en plein camping ou improviser une soirée entre amoureux devant Love Actually.

Facile à déplacer sur une courte distance – grâce à une poignée -, la tablette peut adopter deux positions différentes grâce à son pied rétractable, qui permet de la déposer (pratiquement) à plat sur une table, ou de la déposer sur une surface plane comme un écran de télévision traditionnel. La première position conviendra davantage aux gamers, tandis que la seconde fera le bonheur des gros consommateurs de films et séries. Assez lourde à transporter, la tablette est malheureusement aussi complexe à manipuler une fois entre les mains. Mieux vaut donc la laisser posée sur un meuble ou une table de salon. Son autonomie reste en revanche tout bonnement exceptionnelle (entre 6 et 10h, selon votre utilisation).

Au niveau applicatif, Samsung mise sur son interface habituelle – Touchwizz -, plutôt bien adaptée aux grands écrans. D’autant plus que le fabricant intègre ici un menu d’accès rapide aux services de streaming tels que Netflix, Twitch ou Youtube, à travers un menu qui rappelle celui de ses Smart TV. Reste que, si vous ne souhaitez engager aucun frais supplémentaire, vous êtes plutôt mal embarqués puisque tout l’intérêt du Galaxy View repose sur des services essentiellement payants.Globalement, l’impression est donc assez mitigée, avec d’un côté des performances relativement décevantes par rapport à des téléviseurs classiques, et une connectique assez faible, et de l’autre, un côté assez pratique – sous certaines conditions – et un prix de vente relativement attractif (environ 650€ au lancement, mais on trouve aujourd’hui facilement le Galaxy View aux alentours de 500&euro . En définitive, ce sera donc au consommateur de trancher pour ce modèle, qui fait certes une piètre tablette et un piètre téléviseur mais se révèle être le parfait compromis entre ces deux catégories de produits…

Si son écran en fait un rival de choix pour les Smart TV, le Galaxy View n’est pourtant pas du tout destiné à remplacer votre téléviseur. La tablette de Samsung ne dispose ni de port HDMI, ni de port Ethernet. Inutile donc d’espérer y brancher votre lecteur Blu-Ray ou votre console de jeu. La tablette de Samsung n’a pas non plus été conçue pour être utilisée de manière nomade. S’adressant à un public de niche, la tablette XXL de Samsung se veut davantage un accessoire qui se destine aux cinéphiles occasionnels qui n’ont ni la place ni les moyens d’investir dans un téléviseur 4K. Un produit atypique qui pourrait trouver une réelle utilité dans un kot ou comme « second écran » chez les familles nombreuses.

On le sait, Facebook a longtemps travaillé sur un projet de "Facebook Phone”. Le réseau social aurait cependant abandonné l’idée en réalisant que la création d’un tel produit lui coûterait plus d’un milliard de dollars.Chamath Palihapitiya, un investisseur qui aurait travaillé à l’élaboration du Facebook Phone dès 2010, explique au site Recode que le projet d’un smartphone "Facebook” a longtemps existé en interne chez le réseau social. Le designer suisse Yves Béhar aurait activement travaillé sur la conception d’un téléphone portable pour la marque américaine. Facebook, qui avait entamé des négociations avec certains opérateurs mobiles nord-américains, dont AT&T, et plusieurs fournisseurs de pièces, dont Intel, se serait cependant ravisé au moment de faire les comptes. Un tel projet aurait en effet coûté plus d’un milliard de dollars au réseau social, qui aurait décidé de laisser tomber le projet par manque de liquidités.

Par la suite, Facebook tentera à plusieurs reprises de convaincre des fabricants de smartphones à lancer un "Facebook Phone”. Le constructeur taïwanais HTC s’y risquera à trois reprises, avec les HTC Salsa, ChaCha et First, avant d’abandonner définitivement l’idée, après l’un des plus gros fiascos commerciaux de la décennie.Selon l’investisseur, c’est pourtant bien la situation financière de Facebook qui aurait noyé le projet à l’époque. La startup, qui n’était pas encore rentrée en bourse, n’avait pas les moyens de se lancer dans des projets aussi ambitieux. Au vu des fiascos des trois Facebook Phone de HTC, le réseau social a néanmoins évité une jolie bavure.

Selon une étude américaine, publiée dans le Computers in Human behaviours, le recours aux smartphones notamment l’utilisation massive des applications et divertissements, révèlerait souvent une volonté de se protéger de la réalité, de certaines expériences et émotions négatives.L'anxiété et la dépression touche les personnes qui se servent de leur smartphone pour éviter de faire face à la réalité parfois désagréable. ©leungchopan/shutterstock.com
L’anxiété et la dépression touche les personnes qui se servent de leur smartphone pour éviter de faire face à la réalité parfois désagréable.Après avoir suivi 300 étudiants qui utilisaient très fréquemment leur téléphone portable, des chercheurs de l’université de l’Illinois aux Etats-unis, se sont rendus compte que l’anxiété et la dépression touchaient principalement les jeunes adultes qui se servaient de leur smartphone comme une protection sociale pour éviter de faire face à la réalité parfois désagréable.

"Toutes ces applications à disposition et ces options de divertissement à portée de doigt, permettent en effet comme jamais de se couper de ses problèmes, des tensions de la vie réelle de réalité et d’éviter de s’y confronter”, constate Tayana Panova, l’auteur principal de l’étude.Pour mener l’expérience, ils ont évalué les réponses des étudiants à un questionnaire sur leur utilisation du téléphone et sur leurs émotions. Puis l’équipe a demandé à 72 étudiants de passer 5 minutes à écrire sur un défaut personnel ou une faiblesse ressentie comme inconfortable pour les immerger dans une situation stressante.

Pendant le test, un tiers des participants n’ont pas eu accès à leur téléphone, un autre tiers avait accès à son smartphone tandis que le dernier groupe a eu accès à un jeu électronique simple.D’après les résultats, le premier groupe avec téléphone portable s’est révélé le moins anxieux. Les participants ont eu 64 % de chance en moins d’éprouver l’anxiété que ceux sans accès à la technologie.Parmi ceux dans le groupe avec téléphone portable qui se sont sentis très anxieux, 82% ont utilisé leur téléphone tout le long de l’exercice, contre 50% pour le groupe au jeu vidéo.A l’inverse, 50% des non-stressés ont eu recours à leur téléphone contre 25 % pour le groupe au jeu vidéo.

En conclusion, les chercheurs décrivent les smartphones comme des couvertures de sécurité qui permettent de se rassurer sur ses propres capacités. Selon eux, ce sont les émotions qui vont amener à un type d’utilisation pathologique et non la consultation d’un smartphone en tant que tel.Pour les scientifiques, cette stratégie de fuite pourrait rendre les individus encore plus vulnérables au stress car leurs émotions ne sont plus exercées, jusqu’à pouvant les conduire à des maladies mentales.
Selon une enquête réalisée par l’institut GfK pour le compte de BeCommerce, le Belge aurait dépensé plus de 8,2 milliards d’euros dans des achats en ligne en 2015. Un record absolu pour notre pays, qui rattrape petit à petit ses voisins.

Si la Belgique affichait il y a quelques mois encore un gros retard sur ses voisins dans le domaine de l’e-commerce, le Belge achète désormais plus volontiers sur Internet. Selon une étude de l’institut Gfk, plus de 8,2 milliards d’euros auraient été dépensés dans des achats en ligne au cours de l’année 2015. Une tendance à la hausse qui se confirme dans l’analyse des chiffres trimestriels puisque Gfk a enregistré une hausse des achats de l’ordre de 8% au dernier trimestre de l’année 2015. Le montant moyen d’une transaction s’élevait à 97 euros. "Ces chiffres indiquent que la Belgique se rattrape fortement dans le domaine de l’e-commerce. Nous faisons maintenant partie de la moyenne européenne supérieure et dépassons ainsi de nombreux pays. L’e-commerce belge connaît une forte croissance qui se maintient année après année, et qui se poursuivra probablement encore”, explique Carine Moitier, administrateur délégué de BeCommerce.

Posted by: dovendosi at 04:11 AM | No Comments | Add Comment
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