June 01, 2017

Batterie HP Pavilion N6000

Plus d’annonces sur le Galaxy Note 7 dans les avions. Aux Etats-Unis, les présentations de sécurité dans les avions débutaient inlassablement sur une annonce concernant l’interdiction d’allumer et d’utiliser un Galaxy Note 7. Une recommandation suite aux affaires d’explosion des batteries du smartphone de Samsung. Ces appels vont cesser selon un document publié par la FAA, car le constructeur coréen a annoncé que 96% des Galaxy Note 7 ont été rappelés. Le fabricant avait mené une opération de rappel sans précédent en collaboration avec les opérateurs. Certains aéroports américains avaient même installé un corner pour reprendre les terminaux incriminés. Il reste donc 4% de Galaxy Note 7 qui resteront toujours persona non grata dans les avions.Kaminario lève 75 millions de dollars. Le spécialiste du stockage a annoncé avoir obtenu un financement de 75 millions de dollars portant la totalité des investissements à 218 millions de dollars. L’opération a été menée par le groupe Waterwood, une société qui investit dans des entreprises technologiques en phase de croissance comme Kaminario. Le financement inclut également la participation d’anciens et de nouveaux investisseurs, dont Sequoia, Pitango, Lazarus, Silicon Valley Bank et Globespan Capital Partners. Le capital sera utilisé pour accélérer les initiatives de commercialisation, étendre la présence mondiale de Kaminario, et financer la recherche et le développement.

Un iPhone 8 aux couleurs de l’iPhone 4 ? L’iPhone 8 ressemblera-t-il à l’iPhone 4 ? C’est ce que suggère le site de DigiTimes qui a noté un changement dans les fournisseurs du boîtier du smartphone d’Apple. Foxconn devrait laisser sa place à Jabil. Lequel fournirait un boîtier en acier inoxydable et non plus en aluminium comme proposés sur les derniers modèles. Or, l’iPhone 4 fût le dernier iPhone a avoir été équipé d’acier en inox. De la à en conclure que l’iPhone 8 sera lui aussi encadré de deux tranches en verre encerclés d’acier, il n’y a qu’un pas que le site spécialisé sur les marchés des composants électronique franchit. Cette nouvelle hypothèse s’ajoute à l’idée que le prochain iPhone sera équipé d’un écran Amoled de Samsung et verra disparaître son bouton physique Home.

Les attaques DDoS chargent l’Europe. Avec pas moins de 8 356 charges arrêtées par le centre opérationnel de sécurité (SOC) de F5 Networks à Varsovie, le volume d’attaques DDoS s’est accéléré en Europe en 2016. Le double de l’an dernier. Le fournisseur de solutions d’optimisation d’applications note également la montée en puissance de la charge des attaques. La plus importante, une tentative de submersion UDP/ICMP par fragmentation, a atteint un pic de 448 Gbit/s. Celle-ci s’est appuyée sur plus de 100 000 adresses IP provenant de plusieurs régions dont le Vietnam (28 %), la Russie (22 %), la Chine (21 %), le Brésil (15 %) et les Etats-Unis (14 %). Ces attaques UDP par fragmentation sont les plus fréquentes (23%) suivies des DNS Reflections et UDP Floods (15 % chacune) puis de Syn Flood (13 %) et NTP Reflections (8 %). Ce qui pousse F5 à inviter les utilisateurs à adopter une stratégie hybride et multicouches réseaux, applications et données pour mettre en échec les DDoS. « Cela permet de détecter le type d’attaques et de mettre en Å“uvre les actions adéquates de façon automatisée », note Vincent Lavergne, chez F5.

Tout arrêt de la production informatique ou toute panne sur les postes de travail peuvent coûter une véritable fortune aux entreprises. Un service de maintenance proactive permet d’éviter l’interruption des activités.Quelques minutes de panne de son infrastructure informatique peut coûter une véritable fortune à une entreprise. Un service de maintenance proactive peut permettre d’éviter tout interruption dans votre business.C’est un fait, l’informatique représente un budget important pour une entreprise. Tant que le système d’information tourne, le service rendu aux collaborateurs rentabilise les investissements réalisés. Mais lorsqu’une panne survient, l’impact sur les finances de l’organisation peut être considérable.De l’autre côté de l’Atlantique, le bureau d’étude IHS s’est récemment penché sur la question. Dans son rapport publié en début d’année, il estime à pas moins de 700 milliards de dollars les pertes subies chaque année par les entreprises nord-américaines en raison de défaillances informatiques. Pour une entreprise de taille moyenne, le coût serait d’un million de dollars par an. En ce qui concerne la France, une autre enquête menée par le cabinet Vanson Bourne chiffre à 555 000 dollars la perte annuelle moyenne due aux interruptions de services informatiques. Salariés à l’arrêt, ventes perdues, coûts de remise en service, l’addition peut effectivement grimper très rapidement. Bien que le risque zéro n’existe pas et que la loi de Muprhy se vérifie régulièrement dans les services IT du monde entier, il existe des solutions pour réduire les risques. Le maître mot : anticipation.

Pour éviter au maximum les pannes, il n’existe pas de recette miracle. Il faut garder en permanence un Å“il sur tous les composants du système d’information afin de déceler le moindre signe de faiblesse. Selon le type de matériel, il existe différents symptômes annonciateurs de problèmes. Encore faut-il être en mesure de les identifier à temps et les équipes IT ne disposent pas toujours du temps et des ressources nécessaires pour tout surveiller. C’est pourquoi elles sont nombreuses à travailler en réaction, une fois le problème survenu. Pour pallier cette situation, de plus en plus d’équipements peuvent être déployés avec une couche de service supplémentaire permettant d’intervenir de manière proactive. Deux grandes familles se distinguent.

A la base du système d’information, le réseau est celui d’où proviennent la majorité des interruptions. Il est d’autant plus important aujourd’hui que le cloud et la mobilité prennent une place de plus en plus importante dans les entreprises. Gartner estime dans son analyse les conséquences d’une panne réseau à plus de 300 000 dollars par heure d’indisponibilité. En analysant par exemple les commutateurs (configuration, matériels, ports, protocoles…), il est possible de détecter des problèmes affectant le fonctionnement et susceptibles de mettre le SI à l’arrêt. Idem côté serveurs et systèmes de stockage. L’outil de surveillance collecte automatiquement des données sur l’état des composants (BIOS, micrologiciels, pilotes…) et lance l’alerte auprès d’un expert dédié en cas de problème. Ce dernier pourra ainsi évaluer le risque et prendre les mesures nécessaires pour assurer la continuité du service.

Alors que le poste de travail est devenu au fil du temps un outil indispensable pour un grand nombre de salariés, la plupart d’entre eux ne sont pas des experts informatiques. C’est pourquoi les solutions de surveillance destinés au datacenter on été déclinés pour les postes client. Grâce à un agent léger installé sur un PC ou une tablette, le fournisseur peut recevoir en temps réel des alertes signalant un problème sur le disque dur, la mémoire, ou encore la batterie. Ce dernier peut ainsi entrer en contact immédiatement avec l’utilisateur pour établir un diagnostic et proposer une solution. Certains contrats de maintenance vont même plus loin en automatisant la réaction. Si une défaillance est détectée sur un appareil, un matériel de remplacement peut immédiatement être livré.La maintenance proactive a plusieurs avantages pour les DSI. Non seulement elle réduit les durées (et donc les coûts) des interruptions de service pour les utilisateurs, mais en plus, elle leur libère un temps précieux. D’après une étude menée en mars 2016 par Vanson Bourne, 61 % des DSI dans le monde passent davantage de temps à maintenir leur IT existante qu’à travailler sur des projets innovants. En laissant à un tiers la responsabilité de les avertir seulement en cas de besoin, les responsables informatiques pourront enfin inverser la tendance.

Le Nokia 6 est réservé au marché chinois. Un smartphone Android de milieu de gamme premium, aux caractéristiques correctes, en particulier côté RAM et stockage.HMD Global vient de lancer son premier smartphone Android, le Nokia 6. La société limitera cette offre au seul marché chinois. Un comble pour un acteur qui est d’origine finlandaise et souhaite capitaliser sur la marque Nokia pour arriver en force sur le marché mondial. HMD Global explique vouloir aborder chaque région avec des produits adaptés.Les consommateurs européens n’auront toutefois rien à regretter, car cette machine reste un milieu de gamme assez classique. Pourvu d’un écran 5,5 pouces en Full HD (1920 x 1080 points), le Nokia 6 s’appuie sur un processeur Qualcomm Snapdragon 430. Au menu, 8 cÅ“urs ARM 64 bits Cortex-A53 cadencés à un maximum de 1,4 GHz. Une offre correcte, mais qui ne fera pas de ce smartphone un concurrent des ténors du secteur.Le Nokia 6 se rattrape toutefois sur sa mémoire vive, de 4 Go, et sa capacité de stockage, de 64 Go. Deux capteurs photo de 16 mégapixels et 8 mégapixels sont présents, ainsi qu’un lecteur d’empreintes digitales. La batterie est un modèle de 3000 mAh. Le tout est annoncé sous Android 7.0 « Nougat »

Si le châssis et la finition du Nokia 6 sont de qualité, ce terminal prendra naturellement sa place dans la catégorie des smartphones de milieu de gamme premium. Un positionnement confirmé par son prix de 1699 yuans, soit un peu plus de 230 euros.Le milieu de gamme premium de Samsung est révisé à l’occasion du passage à l’année 2017. Les Galaxy A gagnent en puissance, en protection et en qualité de prise de vues.Le premier gros lancement de l’année 2017 est signé Samsung. Le constructeur coréen dévoile ses smartphones Galaxy A de nouvelle génération. Une gamme 2017 qui se veut de plus en plus premium.Ces machines de milieu de gamme proposent une finition soignée. Châssis métallique, écran en verre et dalle Super Amoled sont en effet au rendez-vous. Les Galaxy A 2017 disposent également d’une certification IP68 garantissant une protection parfaite contre les poussières, mais aussi une immersion possible dans l’eau (au-delà de 1 m, pendant 30 minutes).Côté connectique, nous trouvons un port USB Type-C permettant une charge rapide et un slot microSD compatible avec les cartes de 256 Go.Bon point, les processeurs sont des modèles ARM 64 bits Cortex-A53 à 8 cÅ“urs gravés en 14 nm FinFET. Et les capteurs photo ouvrent tous à f/1,9, même à l’avant. Pratique pour les selfies. Mauvais point par contre, l’offre logicielle limitée à Android 6.0.1. Même si une mise à jour vers Android 7 devrait être livrée rapidement, il est assez incroyable que Samsung propose encore de l’Android 6 en 2017.

Enfin, les prix restent assez élevés sur les modèles les plus avancés, qui seront alors concurrencés par le Galaxy S7.Commençons par l’entrée de gamme Galaxy A3 (13,5 x 6,6 x 0,79 cm). Il propose : un écran 4,7 pouces HD (1280 x 720 points) ; une puce Exynos 7860 à 1,6 GHz (GPU Mali-T830 MP2) ; 2 Go de RAM et 16 Go de Flash ; un capteur arrière de 13 mégapixels (ouverture de f1.9) et avant de 8 mégapixels. Le tout avec une batterie de 2350 mAh.Un produit intéressant sur le papier, de par son prix, mais qui sera sûrement boudé par les consommateurs, du fait de sa batterie limitée et de ses capteurs photo moins avantageux que sur les A5 et A7.Passons justement au Galaxy A5 (14,6 x 7,1 x 0,79 cm). Son écran est un modèle de 5,2 pouces Full HD (1920 x 1080 points). Le processeur est plus rapide. Il s’agit en effet d’un Exynos 7880 cadencé à 1,9 GHz (GPU Mali-T830 MP3). 3 Go de RAM et 32 Go de stockage sont de la partie. Les capteurs photo ? Deux modèles de 16 mégapixels. Y compris à l’avant donc ! Enfin, la batterie affiche une confortable capacité de 3000 mAh.

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Posted by: dovendosi at 10:18 AM | No Comments | Add Comment
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