June 04, 2017

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Vous ne m’en voudrez pas de rester assez discret là-dessus… Je me suis beaucoup ennuyé quand j’étais enfant. Mais j’ai eu la chance de transformer cet ennui grâce à la lecture et l’imagination. Tout à coup, je devenais chercheur d’or, pirate, vagabond, trimardeur, parce j’étais plongé dans London, Stevenson, Conrad, Alexandre Dumas. Ensuite, j’ai eu la chance d’avoir en terminal un professeur de philosophie qui s’est montré extraordinairement précieux. J’ai compris que la lecture, l’imagination pouvaient servir à donner un sens qui était le plaisir. Cela m’a emmené à Montaigne qui, avec Stendhal, est mon maître de vie.50 % des livres traduits en français proviennent des Etats-Unis. Toute une génération d’écrivains est en train de produire ses Å“uvres les plus puissantes. Car il y a eu le 11 septembre. Paradoxalement, après un grand traumatisme, la littérature n’en est que meilleure. La littérature est une autre façon de parler du réel. Les écrivains proposent des destins particuliers. On a l’impression que c’est faux, parce que c’est de l’imagination. Mais par un tour de passe-passe, la vérité sort davantage de ces romans que de ce que l’on peut lire sous la plume des experts.

Je les lis, car je suis curieux, mais comme un impie. La vérité ne m’intéresse qu’à condition qu’elle soit libre. Je propose autre chose, le doute. Un bon roman, c’est celui qui vous fait légèrement vaciller, qui chaque matin, quand vous ouvrez une page, vous met une petite claque sur le museau de vos préjugés. Je suis d’ailleurs pour une désacralisation du livre et des écrivains pour une raison simple. On ne lit pas pour se faire une culture, ni pour briller en société, mais parce que tout à coup, ça vous sauve la vie. Ca vous donne des armes pour affronter le réel.Dans le dernier roman de votre compagne, Delphine de Vigan, "D’après une histoire vraie", vous êtes devenu un personnage de fiction…Ce n’est pas moi qui suis dans le roman, c’est un personnage… Je suis aussi un personnage du dernier roman de David Foenkinos. Il y a sûrement quelque chose, mais qui doit être dit par la lecture. Le lecteur est le co-auteur du livre. Il n’y a pas de vérité. A vous de l’interpréter comme bon vous semble.

Né en 1991, Dylan () n’a pas supporté la rupture avec sa petite amie, une relation longue de six années "avec des coupures". Du coup, le jeune homme n’a cessé d’injurier ou de menacer par téléphone ou via SMS Romina (). Mais pas seulement elle, ses parents et son nouveau "boyfriend" également. "Je traversais une mauvaise passe", se justifie Dylan. Fils d’un gros entrepreneur de la région, il a déjà eu maille à partir avec la Justice pour des faits de coups et blessures volontaires. "C’est rarissime d’obtenir une suspension probatoire du prononcé pour des faits aussi graves", note la présidente.Pour le procureur du Roi : "C’est le boomerang qui revient et il doit l’accepter. Il a fait vivre l’enfer à deux familles. Il reprochait aux parents de Romina d’être à l’origine de la rupture, il n’a pas cessé de leur envoyer des messages de menaces tant et si bien que cette famille en est venue à se barricader chez elle. A la maman de Romina, au téléphone, il promettait de lui faire subir des choses… ‘dérangeantes’ . Le nouveau compagnon a, lui reçu plus de 80 textos explicites : ‘Je vais te mettre sur la gueule’ , ‘je vais te tuer’ , ‘petite lopette, je vais t’e…’ ." Etc. On en passe et des plus fleuries.

Pour le ministère public, Dylan est "un enfant roi" . "Malgré les interpellations par la police, il ne s’est pas calmé. Il faut un recadrage ferme, je ne vois pas d’autre solution."L’avocat de Dylan tient à remettre les choses en perspective en soulignant l’immaturité du couple et sa dynamique particulière : "Ils avaient 15 et 19 ans quand ils se sont rencontrés. Dans un couple, il n’y en a pas un qui est tout blanc et l’autre tout noir. Ils sont beaux, ils se plaisent. Lui, vient d’un milieu privilégié qui peut attirer certaines personnes, pas toujours pour les bonnes raisons."Bref, l’avocat cerne une relation compliquée, où Romina a parfois joué un jeu double voire trouble. L’avocat ne nie pas le caractère outrancier des appels téléphoniques et des messages : "Il doit être puni mais les faits sont plus nuancés qu’il n’y paraît." Le défenseur plaide pour une peine de travail : "Mon client a souffert de jalousie maladive de 2010 à 2014. Aujourd’hui, il a fait le deuil de cette relation et entretient une relation amicale avec Romina. Il y a chez lui une réelle volonté d’amendement."

C’est un couple un poil atypique qui se présente ensuite devant le tribunal. Hassan () est né en 1987 (à Düsseldorf) et Angela () est née en 1970. On ne sait pas quelle est la nature de leur relation mais on se doute qu’elle a dû être en son temps plus harmonieuse : "Je ne faisais que conduire la voiture", précise tout de go Angela sans qu’on ne lui demande quoi que ce soit. Que reproche-t-on à ce "couple" ? Le recel d’un pc portable volé. Volé par qui ? En tout cas pas par Hassan qui voulait juste "rendre service" : "J’ai été contacté par un compatriote (Hassan est d’origine algérienne, NdlR) qui cherchait quelqu’un pour réparer son ordinateur. Comme je suis informaticien, je me suis exécuté. Après, il m’a demandé de vendre son pc portable pour lui."Bref, Hassan passe une annonce via un site bien connu pour la revente d’articles de seconde main. Très vite, il est contacté par une dame intéressée par l’ordinateur. Un rendez-vous est fixé sur le parking d’une surface commerciale pour réaliser la transaction.Le "hic" pour Hassan et Angela, c’est que la dame soi-disant intéressée par le pc portable n’est autre que la "vraie" propriétaire dudit portable… Ayant repéré son bien sur le site de revente en ligne, elle s’est présentée à la police, qui ne s’est pas priée pour "monter une souricière", comme on dit dans le jargon.

Le couple est pris la main dans le sac mais plaide son innocence : ils vendent le bien de bonne foi pour rendre service à un certain "Hicham" dont ils fournissent d’ailleurs le numéro de téléphone… Qui ne permettra toutefois pas de l’identifier. Pour le procureur du Roi, il y a néanmoins "un doute raisonnable qui doit profiter aux prévenus" .Toujours une affaire de recel avec Mohamed (), qui a revendu un iPhone 5 en 2014. Le prévenu soutient mordicus avoir acheté le smartphone sur une brocante : "Je change 5 à 6 fois de GSM par an." Le problème, c’est que le portable en question était "le fruit" d’un vol avec violences. "Je ne me rappelle plus de cet appareil-là en particulier, j’ai toujours deux téléphones sur moi."Dans son audition, Mohamed a déclaré avoir acheté le téléphone pour 50 euros, une somme qui fait "tiquer" le procureur du Roi : "Cinquante euros pour un iPhone 5, cela ne me paraît pas cher payé. On ne veut pas savoir pourquoi l’iPhone coûte seulement cinquante euros mais on veut bien l’acheter… Il y a des doutes. Monsieur n’a pas d’antécédents, je ne suis pas opposé à une mesure de clémence."

Pour l’avocat, le chemin est tracé : "Le dossier répressif n’a pas permis d’établir que mon client connaissait l’origine délictueuse du GSM. Il a toujours travaillé dès qu’il était en Belgique, son casier judiciaire est vierge, je demande la suspension du prononcé."- "S’il n’existait pas de gens pour racheter à bon compte des iPhone, il n’y en aurait pas d’autres pour les voler", intervient la présidente de manière sibylline.Mohamed, lui, ne cherche pas à philosopher et campe sagement sur sa position : "Je n’ai pas l’habitude de me retrouver devant un tribunal mais une chose est sûre, c’est que je ne savais pas que c’était un appareil volé."Un Syrien de 24 ans soupçonné d'appartenir au groupe Etat islamique (EI) a été arrêté vendredi dernier dans l'ouest de l'Allemagne, ont annoncé mardi les autorités locales, évoquant une menace sur le championnat allemand de football."Il existe des informations selon lesquelles quelque chose était prévu pour le début de la Bundesliga", a déclaré à l'AFP un porte-parole du ministère de l'Intérieur de Rhénanie-Palatinat, Etat-région de l'ouest de l'Allemagne.Le ministère de l'Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie, Etat-région voisin également impliqué dans l'enquête, a précisé qu'il n'y avait eu "aucune situation concrète de menace", mais qu'un témoin avait alerté les enquêteurs sur un projet d'attaque islamiste.

Le suspect a été interpellé par les forces spéciales à Mutterstadt (ouest) et placé en détention provisoire, puis les enquêteurs ont perquisitionné un appartement à Duisbourg, à 300 km au nord-ouest du lieu de l'arrestation, selon la police.Demandeur d'asile venu de Syrie, il était arrivé en Allemagne au début de l'année et était logé en Rhénanie du Nord-Westphalie, selon le système allemand de répartition des réfugiés entre Etats-régions, selon la chaîne locale Südwestrundfunk.De nombreuses photos de combats en Syrie ont été retrouvées sur son téléphone portable et son ordinateur, sans qu'il soit établi s'il les a prises lui même ou les a téléchargées sur Internet, d'après la même source.Le parquet de Duisbourg, en charge de l'enquête, s'est refusé à tout commentaire.L'Allemagne a connu fin juillet deux attentats revendiqués par l'Etat islamique, tous deux dans le sud du pays: une attaque à la hache commise dans un train par un adolescent de 17 ans, qui a fait cinq blessés, et un attentat suicide qui a tué son auteur et blessé 15 personnes à l'entrée d'un festival de musique.

La chambre du conseil de Bruxelles a prolongé jeudi la détention préventive de Mohamed Abrini, Ossama Krayem, Ibrahim Farisi, Bilal El Makhoukhi et Hervé B.M pour une durée supplémentaire de deux mois. Ali El Haddad Asufi et Youssef El Ajmi ont quant eux vu leurs mandats d'arrêt prolongés d'un mois supplémentaire, a indiqué le parquet fédéral. Mohamed Abrini, qui était recherché depuis les attentats du 13 novembre dernier perpétrés à Paris, avait été interpellé le 8 avril à Anderlecht. Il avait reconnu être l'homme, portant un chapeau, qui avait abandonné le 22 mars dernier une valise bourrée d'explosifs à l'aéroport de Zaventem, avant de prendre la fuite. Ossama Krayem, qui était connu jusque là connu sous le nom d'emprunt de "Naïm Al Hamed, avait également été arrêté le 8 avril. L'homme avait été filmé le jour des attentats à la station de métro Pétillon alors qu'il discutait furtivement avec Khalid El Bakraoui, avant que ce dernier ne se fasse exploser quelques minutes plus tard à la station de métro Maelbeek.Le Rwandais Hervé B.M (31) et Bilal El Makhoukhi (27) avaient été interpellés le même jour que Mohamed Abrini et Osama Krayem. Ils sont suspectés d'avoir aidé ces derniers à se cacher. En 2015, Bilal El Makhoukhi avait par ailleurs été condamné au procès de membres de Sharia4Belgium.

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Posted by: dovendosi at 02:45 AM | No Comments | Add Comment
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